LA CULTURE DU ROTIN.

Le rotin (genre calamus) qu’on trouve à l’état sauvage appartient à la famille botanique des palmiers–liane, on en dénombre aujourd’hui environ 600 espèces.

Dans la grande majorité des cas, ces palmiers grimpants plutôt solitaires en forme de lianes avec des crochets épineux s’accrochent sur un support, souvent sur les arbres alentours. Le diamètre de ces lianes varie selon les espèces : de quelques millimètres à plus de 10 cm. Leur longueur fluctue de quelques centimètres à plus de 200 m. On les trouve en particulier dans les forêts tropicales humides de l’Asie du Sud-Est : Inde, Indonésie, Ile de Bornéo... Certaines espèces poussent aussi en Afrique.

Son industrie, maintenant réglementée, permet de mieux gérer les ressources.

Pour éviter une menace de surexploitation inappropriée, de nouvelles pratiques complémentaires ont également dû être mises en place.

Au Cameroun par exemple, les populations accompagnées par diverses organisations telles que ISF (Ingénieurs sans frontières) cultivent certaines variétés de rotin par semis et ça fonctionne!

 Dans de bonnes condition, ce rotin dompté peut atteindre la maturité en 5 ans avec une longueur de 20 à 25 mètres.

Ainsi, son utilisation pour la fabrication de mobilier permet de réduire l’utilisation du bois et contribue à la conservation des ressources forestières.

Sachez également que le rotin est un matériau naturel biodégradable.

PAILLE DE SEIGLE.

Après Pâques, deux idées que je viens de terminer.

LES RAMEAUX DE PAQUES  (en palmier phoenix dattier).

Le Pape François et son rameau. 

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Des rameaux fabriqués en Espagne par Toni Palmer